Big Pharma out of WHO!
Die Pandemieverträge sind vorläufig gescheitert. Der Verzicht auf Patente von Seiten der Pharma-Industrie konnte nicht durchgesetzt werden und die Länder des Südens befürchten nach wie vor einen ungerechten Zugang zu Daten (Proben von aufgetauchten Erregern) und eine ungerechte Verteilung von Ressourcen (Schutzmaterialien, Medikamenten und Impfungen). Corona war eine Pandemie der Reichen. In vielen Ländern Südafrikas hat Corona die Bevölkerung aus verschiedenen Gründen weniger getroffen. Die Nachfrage nach der Corona-Impfung blieb wider Erwarten tief. Das lag nicht nur an den Preisen.
Der globale Süden hat nicht die gleichen Probleme wie der Norden. Auch in einer Pandemie nicht.
In den südlichen Ländern haben sie tagtäglich mit anderen gefährlichen Epidemien (z.B. Ebola, Malaria) zu kämpfen und den Rest der Welt interessiert das nicht. Wie sich gezeigt hat, wurde ein Abbruch der Lieferketten von Medikamenten, Malariaimpfungen und wichtigen Gütern des Lebens von den Industrieländern ohne weiteres in Kauf genommen. Als einzige Reaktion auf die Lieferung der Daten der Omikron-Variante, hat die westliche Welt beispielsweise alle Flüge nach Südafrika storniert, was enorme wirtschaftlichen Einbussen für Südafrika zur Folge hatte.
Es zeigte sich, dass einheitliche globale Lösungen nicht dem Bedürfnis aller Länder entsprechen. Es braucht regional angepasste Lösungen, über die die Regionen selbst entscheiden können. In einer Notlage müssen Patente der Pharma ausgesetzt werden, damit alle Länder, die dies wollen, sich selbst mit den für sie nötigen Impfungen und Medikamenten versorgen können. Dabei ist darauf zu achten, dass Impfungen und Medikamente wirklich sicher und wirksam sind. Dass Pharmafirmen Zulassungsstudien zur Sicherheit und Wirksamkeit ihrer Produkte selbst durchführen lassen, ist absurd und gefährlich. Es ist zu hoffen, dass die künftigen Pandemieverträge diese Punkte berücksichtigen werden.
Wichtiger jedoch als die Pandemieverträge sind die neuen Bestimmungen in den Internationalen Gesundheitsgesetzen (IGV). Diese werden an der jetzigen 77. Weltgesundheitsversammlung verabschiedet. Sie sind für die Mitgliedsländer und ihre eigenen Epidemiegesetze zentral, weil sie diese gemäss den neuen IGV anpassen müssen. Der WHO-Generaldirektor würde gemäss den Erweiterungen der IGV, die alleinige Kompetenz zur Feststellung einer gesundheitlichen Notlage von internationaler Tragweite - einschliesslich einer pandemischen Notlage – ohne unabhängige Überprüfungsmöglichkeit und Verantwortlichkeit, erhalten. Der Generaldirektor braucht die Empfehlung des von ihm selbst eingesetzten Notfallausschusses auch nicht zu befolgen, sondern kann sich darüber hinwegsetzen – wie er es im Juli 2022 beim Beispiel Affenpocken eindrücklich demonstriert hat.
Die Anpassungen der IGV werden heruntergespielt. Stossend an den erneuerten IGV sind auch die geplanten Zensurbestimmungen. Was im Bereich der öffentlichen Gesundheit «falsche oder unzuverlässige Information», oder «Fehlinformation und Desinformation» sein soll, bestimmt nicht mehr ein offener wissenschaftlicher Diskurs, sondern unterliegt der Deutungshoheit der WHO und ist von den Vertragsstaaten auf dem Wege der Zensur und Informationsunterdrückung – völkerrechtlich verbindlich – durchzusetzen. Diese neuen Kommunikationsregeln bedrohen demokratische Grundrechte wie Meinungs- und Wissenschaftsfreiheit und führen zu einer Verengung des Meinungskorridors.
Wie steht es mit dem Einfluss der Pharma? Die WHO ist in den letzten 20 Jahren neoliberal umstrukturiert worden und wird heute, statt von Beiträgen der Mitgliedsländer, zu einem beträchtlichen Teil von privaten Stiftungen und Konzernen (Bill und Melinda Gates Stiftung, GAVI, Open Society Foundation etc.) finanziert. Die WHO-Mitgliedsländer sollen im Zuge der vergangenen Pandemie auf eine rigorose globale Gesundheitssicherheitsdoktrin eingespurt werden, die den Profitinteressen der Pharma entsprechen. Die Krisenbewältigung der WHO wird immer mehr zu einem Geschäftsmodell und orientiert sich am Kapital, statt an den Menschen. Die WHO muss ihre Verantwortung für eine globale Gesundheitsversorgung einsetzen, statt nur auf Impfungen und andere technologische Lösungen zu setzen. Sie soll ihre (wieder) Gelder für sauberes Wasser, zugängliche Toiletten für alle, lokale medizinische und pflegerische Versorgung und für zugängliche dezentrale Gesundheitsstationen einsetzen. Besonders geschützt werden müssen Frauen und Kinder, welche auch in den südlichen Ländern, die Folgen von überstürzten, restriktiven, globalen Massnahmen in der Hauptlast zu tragen hatten. Die Interessen privater Akteure und Akteurinnen müssen eliminiert werden.
Als massnahmenkritische Linke sehen wir - Linksbündig - diesen Entwicklungen mit Argwohn entgegen.
Forderungen:
Wir wollen gleichberechtigte, solidarische, internationale Kooperationen.
Wir wollen gleichberechtigte Mitentscheidungen der Länder des globalen Südens.
Wir wollen eine globale Gesundheitsinstitution zum Nutzen der Menschen, nicht zum Nutzen der Pharma!
Wir fordern eine WHO, die sich weltweit für die Grundversorgung einsetzt und nicht für eindimensionale technologische Lösungen im Interesse der Pharma.
Big Pharma out of WHO!
Les accords pandémique sont provisoirement échoués. Le renoncement des brevets par l’industrie pharmaceutique, “la Pharma”, n’a pas été réussi pour le moment. Les pays du sud craignent encore toujours pour un l’accès équitable aux dates (des échantillons des agents pathogènes nouveaux) et pour une distribution egalitaire des ressources (matériels de protection, des medicaments, des vaccinations). Corona était une pandémie des riches. Dans beaucoup de pays d’Afrique le virus de Corona n’a pas eu des effets de la même dimension comme dans les pays du Nord. La demande de vaccins restait, contre l’attente au total, bas. Ce n’était pas seulement a cause de prix trop hauts.
Le sud générale n’a pas les mêmes problèmes comme les pays de l’occident. Non plus dans une pandémie. Le sud dois combattre tous les jours contre des autres dangéreuses épidemies (ebola, malaria). Le rest du monde ne s’ intéresse pas. Comme on a vu, les chaines d’approvisionnement, ceux des medicaments, des vaccins contre la malaria et des besoins quotidiens, ont été interrompu sans peine. Quand par exemple l’Afrique du Sud avait transmis les dates de la variante d’omicrons, la seule réaction par l’Occident ètait l’annulation de tous les vols. La perte économique ensuite pour l’Afrique du Sud était énorme.
On voit que des solutions uniformes et générales ne sont pas au faveur de tous les pays. Il faut des solutions régionaux, de lesquelles les pays ont la compétence de decider.
Dans un cas d’urgence sanitaire les brevets de la pharma doivent être renoncé, afin que les pays eux mêmes se puissant procurer les vaccins et les medicaments nécessaires pour eux. Il faut veiller que les vaccins et les medicaments soient sûres et efficaces. Il est absurd et dangereux que les institutions pharmaceutiques controllent leur produits par eux mêmes. On éspère dans les futures accords pandemiques tous ça sera pris en compte.
Plus important sont les amendements proposés au Règlement sanitaire international (RSI).
L’Assemblée mondiale de la santé devra voter sur ces amendements définitivement dans ces jours. Ils ont une importance central pour les lois épidemiques des Etats-membres, parc qu’ils les ont à adapter. Le Directeur ou la directrice de l’OMS recevrait aves ces modifications au RSI la compétence exclusive à identifier un cas d’urgence sanitaire d’une portée international - ou d’une urgence sanitaire pandémique – sans vérifiabilité et responsabilité indépendante. Le directeur générale n’a même pas besoin de consulter les recommandations du comité d’experts, qui a été institué par lui même, comme il a bien demonstré dans le cas des varicelles du singe.
Les amendements au RSI vont minimisé. Choquant aux RSI sont aussi les règlements prévus de la censure. Ce que dans l’endroit de la santé publique doivent être des informations faux ou des désinformations, ne s’accord plus dans un discours de science ouverte, mais est soumis à la captation du sens de l’OMS et les Etats-members sont obligés de les imposer -selon le droit international public - au moyen de censure et d’oppression des informations. Ces nouvaux règles de communication dans les RSI menacent les droits fondamentaux de la démocratie et conduissent à une réstriction des opinions tolérés.
L'OMS a été restructurée de manière néolibérale au cours des vingt dernières années et elle est aujourd'hui financée en grand partie par des fondations et des entreprises privées au lieu des contributions des Etats-membres. Selon la révision prévue, les Etats-membres doivent s'aligner sur une doctrine de sécurité sanitaire mondiale rigoureuse, qui répond aux intérêts de profit de l'industrie pharmaceutique. La gestion de la crise par l'OMS devient de plus en plus un modèle commercial et s'oriente vers le capital plutôt que vers les personnes. L’OMS est appelée de s’engager sa responsabilité à un soin de base. A place de se miser seulement sur des vaccins et d’autres solutions techniques, l’OMS doit s’engager pour de l’eau propre, pour assez de toilettes accessibles, des soins médicales et pour des centres sanitaires décentrales dans le monde entier. Particulièrement protéger doit l’OMS les femmes et les enfants qui ont supporté la charge principale des conséquences des messures précipités eurocentriques et restricitves. Les intérêts des acteurs privés doivent être éliminés.
En tant que gauche critique à l'égard des mesures, nous – Bord de gauche* - considérons ces évolutions avec méfiance.
*Bord de gauche" est un regroupement de personnes engagées dans le féminisme de gauche qui se consacrent à l'étude de la politique de Corona dans une perspective résolument de gauche.
Nous demandons des coopérations égalitaires en droits, solidaires et internationaux.
Nous demandons des codécisions de plein droit par des pays de les pays du sud.
Nous demandons une institution de la santé international au faveur des personnes et non pas au faveur de la «Pharma».
Nous demandons une OMS, qui s’engage pour les soins de base et non pas pour des solutions technologiques et unidimensionnels au sens de la «Pharma».